Cette semaine dans les salles

Une semaine variée, bon choix et bonnes séances.

 

  • Ghost In The Shell (Paramount Pictures France ~600 copies) Nouveau long de Rupert Sanders après Blanche Neige Et Le Chasseur (1.97M). Le film est adapté du manga de Masamune Shirow, déjà adapté en film d’animation : Ghost In The Shell (114.8k) et Innocence Ghost in The Shell 2 (129.8k).

Dans un futur proche, le Major est unique en son genre: humaine sauvée d’un terrible accident, son corps aux capacités cybernétiques lui permet de lutter contre les plus dangereux criminels. Face à une menace d’un nouveau genre qui permet de pirater et de contrôler les esprits, le Major est la seule à pouvoir la combattre. Alors qu’elle s’apprête à affronter ce nouvel ennemi, elle découvre qu’on lui a menti : sa vie n’a pas été sauvée, on la lui a volée. Rien ne l’arrêtera pour comprendre son passé, trouver les responsables et les empêcher de recommencer avec d’autres.

CRITIQUE
AVANT-PREMIERE

 

  • Baby Boss (Twentieth Century Fox France) Nouveau film d’animation de Tom McGrath après Madagascar (3.19M), Madagascar 2 La Grande Evasion (5.3M), Megamind (1.23M) et Madagascar 3 Bons Baisers d’Europe (3.41M). A la production, on retrouve Dreamworks Animation dont le meilleur score en France est Shrek 2 (7.14M).

C’est toujours un choc de voir ses parents rentrer à la maison avec un bébé dans les bras – surtout quand il porte une cravate, qu’il se balade avec un attaché-case et qu’il a la voix d’un quinquagénaire !
Si Tim, 7 ans, ne voit pas d’un très bon œil ce «Baby Boss» débarquer chez lui, il découvre qu’il a en réalité affaire à un espion et que lui seul peut l’aider à accomplir sa mission ultra secrète…
Car Baby Boss se prépare à un affrontement titanesque entre les bébés et…. les toutous, charmants petits chiots qui vont bientôt être vendus pour remplacer les bébés dans le cœur des parents !

CRITIQUE

 

  • A United Kingdom (Pathé Distribution ~36 copies) Un long de Amma Asante adapté du livre « Colour Bar » de Susan Williams.

En 1947, Seretse Khama, jeune Roi du Botswana et Ruth Williams, une londonienne de 24 ans, tombent éperdument amoureux l’un de l’autre. Tout s’oppose à leur union : leurs différences, leur famille et les lois anglaises et sud-africaines. Mais Seretse et Ruth vont défier les ditkats de l’apartheid. En surmontant tous les obstacles, leur amour a changé leur pays et inspiré le monde.

  • Orpheline (Le Pacte ~120 copies) Nouveau long d’Arnaud Des Pallières qui reste sur le score de   Michael Kohlhaas (161.4k).

Portrait d’une femme à quatre âges de sa vie. Petite fille de la campagne, prise dans une tragique partie de cache-cache. Adolescente ballottée de fugue en fugue, d’homme en homme, puisque tout vaut mieux que le triste foyer familial. Jeune provinciale qui monte à Paris et frôle la catastrophe. Femme accomplie enfin, qui se croyait à l’abri de son passé. Quatre actrices différentes incarnent une seule et même héroïne.

CRITIQUE

 

 

  • Telle Mère Telle Fille (Gaumont Distribution) Troisième long de Noémie Saglio après Toute Première Fois (426.1k) et Connasse Princesse Des Cœurs (1.19M).

Inséparables, Avril et sa mère Mado ne peuvent pourtant pas être plus différentes. Avril, 30 ans, est mariée, salariée et organisée à l’inverse de sa mère, éternelle ado insouciante et délurée qui vit aux crochets de sa fille depuis son divorce. Mais quand les deux femmes se retrouvent enceintes en même temps et sous le même toit, le clash est inévitable. Parce que si Mado, en pleine crise de jeunisme, n’est pas prête à être grand-mère, Avril, quant à elle, a bien du mal à imaginer sa mère… mère !

 

  • Gangsterdam (StudioCanal ~503 copies) Deuxième long de Romain Levy après Radiostars (560.7k).

Ruben, Durex et Nora sont tous les trois étudiants en dernière année de fac. Par manque de confiance en lui, Ruben a déjà raté une fois ses examens. Même problème avec Nora, à qui il n’ose avouer ses sentiments. Et ce n’est pas Durex son ami d’enfance, le type le plus gênant au monde, qui va l’aider…Lorsqu’il découvre que Nora est aussi dealeuse et qu’elle part pour Amsterdam afin de ramener un tout nouveau type de drogue, Ruben prend son courage à deux mains et décide de l’accompagner. Ce voyage à Amsterdam, c’est le cadre idéal pour séduire enfin Nora, dommage pour lui que Durex s’incruste dans l’aventure. Alors que tous les trois découvrent la capitale la plus dingue d’Europe, leur vie va franchement se compliquer quand ils vont réaliser que la drogue qu’ils viennent de récupérer appartient aux plus grands criminels d’Amsterdam…Très vite Ruben, Durex et Nora vont comprendre que pour retrouver leur vie d’avant, ils vont devoir cesser d’être des blaireaux, pour devenir de vrais héros.

CRITIQUE

 

  • Félicité (Jour2fête ~50 copies) Nouveau long d’Alain Gomis après L’Afrance (23.5k), Andalucia (12.8k) et Aujourd’Hui (15.1k). Le film est passé à la berlinale 2017 où il a remporté l’ours d’argent grand prix du jury.

Félicité, libre et fière, est chanteuse le soir dans un bar de Kinshasa. Sa vie bascule quand son fils de 14 ans est victime d’un accident de moto. Pour le sauver, elle se lance dans une course effrénée à travers les rues d’une Kinshasa électrique, un monde de musique et de rêves. Ses chemins croisent ceux de Tabu.

  • Jazmin Et Toussaint (Pyramide Distribution ~5 copies) Deuxième long de Claudia Sainte Luce après Les Drôles De Poissons-Chats (50.5k).

À 60 ans, en raison d’une santé fragile, Toussaint doit s’installer chez sa fille Jazmin, qui vit à Mexico. D’origine haïtienne, Toussaint n’a jamais été capable de prendre racine nulle part. Il n’a pas été un père aimant et est un parfait inconnu pour Jazmin. Au gré de cette cohabitation forcée, Toussaint recompose le puzzle de son passé sous le regard tantôt sévère, tantôt bienveillant de sa fille. Il permettra à Jazmin d’aller de l’avant avec sa propre vie.

 

  • Paris La Blanche (ARP Sélection ~38 copies) Un long de Lidia Terki.

Sans nouvelles de son mari, Rekia, soixante-dix ans, quitte pour la première fois l’Algérie pour ramener Nour au village. Mais l’homme qu’elle finit par retrouver est devenu un étranger.

 

  • Pris De Court (AdVitam) Troisième long d’Emmanuelle Cuau après Circuit Carole (24.7k) et Très Bien Merci (237k).

Nathalie est joaillère et vient de s’installer à Paris pour un nouveau travail et une nouvelle vie avec ses deux fils. Mais la direction de la bijouterie change soudainement d’avis et lui annonce que le poste ne sera pas pour elle. Nathalie veut protéger ses enfants et décide de ne rien leur dire. De ce mensonge vont naître d’autres mensonges de part et d’autre. L’engrenage commence…

 

  • Mai Morire (Zootrope Films ~12 copies) Nouveau long d’Enrique Rivero après Parque Via (5.4k).

Chayo est de retour dans sa ville natale pour s’occuper de sa mère âgée et malade. Malgré la beauté sublime de ce lieu, elle doit toutefois faire face aux anciens démons de son existence. Ce sera le prix de sa liberté.

 

  • Pourvu Qu’On M’Aime (Aramis Films) Premier long documentaire de Carlo Zoratti.

Enea, un jeune Italien de 29 ans, retardé mental, ne cherche qu’à découvrir l’amour. Comme l’Italie n’offre pas de solution légale ni médicale au désir d’une personne atteinte d’autisme comme Enéa, ses deux plus proches amis Carlo et Alex l’emportent faire un voyage à travers l’Europe du Nord pensant qu’Enea est à la recherche d’un rapport physique alors qu’il ne recherche exclusivement que d’être aimé et d’apporter de la tendresse.

  • La Rage Du Démon (Les Découvertes Du Saint André) Documentaire de Fabien Delage.

Janvier 2012. Un collectionneur organise la projection privée d’un film muet au Musée Grévin à Paris. Le visionnage tourne au cauchemar : vers la fin de la séance, les spectateurs devenus enragés sèment le chaos dans la salle. Les médias relayent peu l’affaire, pourtant ce n’est pas la première fois que ce genre d’incident se produit ; il semblerait que le film projeté soit à l’origine de ce phénomène inquiétant.
Cette enquête captivante nous emmène sur les traces d’émeutes violentes ayant eu lieu tout au long des XIXème et XXème siècles, provoquées par une œuvre rare, fascinante et dangereuse : La Rage Du Démon, attribuée au cinéaste Georges Méliès. A travers des entretiens avec des journalistes, cinéastes, historiens, experts et psychologues, ce nouveau long métrage documentaire lève le voile sur le film maudit le plus inquiétant que le monde ait jamais connu.
De mystères en mystères, d’interrogations en interrogations, découvrez toute la vérité sur ce film disparu qui fait trembler le monde du cinéma depuis plus d’un siècle

 

Synopsis © Distributeurs & Allociné

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