Cette semaine dans les salles

Succès ou échecs. C’est une nouvelle semaine de sorties. Bons choix et bonnes séances

  • Le Mans 66 (Twentieth Century Fox France) Nouveau long de James Mangold après Copland (553.4k), Heavy (12.9k), Une Vie Volée (101k), Kate & Leopold (90.5k), Identity (316.6k), Walk The Line (272.1k), 3H10 Pour Yuma (185.6k), Night And Day (1.76M), Wolverine Le Combat De L’Immortel (1.98M) et Logan (2.33M).

Basé sur une histoire vraie, le film suit une équipe d’excentriques ingénieurs américains menés par le visionnaire Carroll Shelby et son pilote britannique Ken Miles, qui sont envoyés par Henry Ford II pour construire à partir de rien une nouvelle automobile qui doit détrôner la Ferrari à la compétition du Mans de 1966.

 CRITIQUE 
  • Countdown (Metropolitan FilmExport) Premier long de Justin Dec. Dans la catégorie horreur, c’est pour le moment Ca Chapître 2 qui a le plus attiré en 2019 (1.49M).

Voulez-vous savoir combien de temps il vous reste à vivre ? Téléchargez l’appli Countdown ! Lorsque Quinn, une jeune infirmière, télécharge cette application à la mode, elle découvre qu’il ne lui reste que 3 jours à vivre. Elle doit trouver un moyen d’échapper à son sinistre destin avant la fin du compte à rebours.

  • J’Accuse (Gaumont Distribution) Nouveau long de Roman Polanski dont les meilleurs scores sont Le Bal Des Vampires (3.41M), Pirates (1.93M), Tess (1.91M), Chinatown (1.82M), Le Pianiste (1.77m), Oliver Twist (1.51M), La Neuvième Porte (1.42M), Rosemary’s Baby (1.32M), Frantic (1.29M), The Ghost Writer (1.08M) et qui reste sur le score de D’Après Une Histoire Vraie (110.9k). Le film s’inspire du roman « D an officer and a spy » de robert Harris.

Pendant les 12 années qu’elle dura, l’Affaire Dreyfus déchira la France, provoquant un véritable séisme dans le monde entier.
Dans cet immense scandale, le plus grand sans doute de la fin du XIXème siècle, se mêlent erreur judiciaire, déni de justice et antisémitisme. L’affaire est racontée du point de vue du Colonel Picquart qui, une fois nommé à la tête du contre-espionnage, va découvrir que les preuves contre le Capitaine Alfred Dreyfus avaient été fabriquées.
A partir de cet instant et au péril de sa carrière puis de sa vie, il n’aura de cesse d’identifier les vrais coupables et de réhabiliter Alfred Dreyfus.

  • Little Joe (Bac films) Nouveau long de Jessica Hausner à qui l’on doit Lourdes (70.5k) et Amour Fou (12.3k). Emily Beecham a reçu le prix d’interprétation féminine au festival de Cannes 2019 pour son rôle d’Alice.

Alice, mère célibataire, est une phytogénéticienne chevronnée qui travaille pour une société spécialisée dans le développement de nouvelles espèces de plantes. Elle a conçu une fleur très particulière, rouge vermillon, remarquable tant pour sa beauté que pour son intérêt thérapeutique. En effet, si on la conserve à la bonne température, si on la nourrit correctement et si on lui parle régulièrement, la plante rend son propriétaire heureux. Alice va enfreindre le règlement intérieur de sa société en offrant une de ces fleurs à son fils adolescent, Joe. Ensemble, ils vont la baptiser  » Little Joe « . Mais, à mesure que la plante grandit, Alice est saisie de doutes quant à sa création : peut-être que cette plante n’est finalement pas aussi inoffensive que ne le suggère son petit nom. 

 CRITIQUE 
  • Le Bel Eté (JHR Films) Nouveau long de Pierre Creton après Secteur 545 (1.4k), Maniquerville (0.9k) et Va Toto (4k).

Robert, Simon et Sophie vivent au bord de la Manche dans un quotidien d’habitudes. Nessim va entrer dans leur vie, suivi d’enfants, que la situation politique de l’Afrique menace. Tous ont traversé la Méditerranée pour se réfugier en France. Ils vont vivre tous ensemble en Normandie le temps d’un été.

  • Koko-Di Koko-Da (Stray Dogs Distribution) Film d’horreur de Johannes Nyholm.

Pour surmonter les problèmes que traverse leur couple, Elin et Tobias partent camper au coeur de la forêt suédoise. Mais des fantômes de leur passé resurgissent et, plus que jamais, les mettent à l’épreuve.

 CRITIQUE 

  • Noura Rêve (Paname distribution) Un long de Hinde Boujemaa.

5 jours, c’est le temps qu’il reste avant que le divorce entre Noura et Jamel, un détenu récidiviste, ne soit prononcé. Noura qui rêve de liberté pourra alors vivre pleinement avec son amant Lassad. Mais Jamel est relâché plus tôt que prévu, et la loi tunisienne punit sévèrement l’adultère : Noura va alors devoir jongler entre son travail, ses enfants, son mari, son amant, et défier la justice…

  • Zibilla Ou La Vie Zébrée (Gebeka Films)

Programme de courts métrages.
– Tout là-haut de Martina Svojikova (13 min) 
– Le Dernier jour d’autonme de Marjolaine Perreten (7 min) 
– Zibilla ou la vie zébrée de Isabelle Favez (26 min)
Arriver dans une nouvelle école c’est difficile, surtout lorsqu’on est victime des brimades de ses camarades. Zibilla est un zèbre adopté par une famille de chevaux, et elle commence à détester les rayures qui la rendent différente. Quand elle se fait voler son jouet préféré, elle part à sa recherche impulsivement et se retrouve dans un cirque dont la vedette du numéro principal, un lion, s’est échappé. 

  • Prendre Soin (Zelig Films distribution) Nouveau documentaire de Bertrand Hagenmuller après Les Pieds Sur Terre (0.6k).

Prendre soin est un documentaire d’immersion dans le quotidien de quatre soignants au cœur des unités Alzheimer de maisons de retraite. 
Aux côtés de Claire, Luca, Antoinette et Lika on découvre ce qui rend le soin possible, les gestes d’un métier méconnu, fait de patience, d’habileté, d’intelligence, de tendresse et souvent d’amour. 
Malgré la raison qui s’échappe et la mort qui approche, malgré le temps qui manque pour faire son travail, on est traversé par la beauté des échanges avec les résidents, la force des regards partagés et l’authenticité des liens qui se tissent. 
Loin des représentations habituelles, Prendre soin nous offre un regard poétique sur la relation qui se noue, jour après jour, entre soignants et résidents.

  • L’Ame Du Vin (Nour Films) Documentaire de Marie-Ange Gorbanevsky.

Les vins naissent de la rencontre de la terre, du ciel, et de l’homme… Chaque année en Bourgogne, la réussite de leur millésime est une véritable épopée. Le travail de la vigne et de la cave au fil des saisons aboutit à la création de vins exceptionnels, vivants, recherchés et adulés dans le monde entier : Romanée-Conti, Gevrey-Chambertin, Chambolle-Musigny, Meursault, Volnay… Ces vins portent en eux la parcelle de terre dont ils sont issus et l’âme des hommes qui leur ont donné vie.

 CRITIQUE 
  • Rendre La Justice (Jour2fête) Documentaire de Robert Salis à qui l’on doit A La Recherche Du Paradis Perdu Vivre Nu (8.4k) et Grande Ecole (41.1k).

Un portrait de la Justice par celles et ceux qui ont la lourde responsabilité d’avoir à juger leurs semblables.
L’appareil juridique français apparaît souvent, pour les non-initiés, comme une sorte de trou noir mystérieux et fascinant, dont il vaut mieux ne pas trop approcher, ou alors comme une machine infernale, impitoyable et impersonnelle, dont on ressort broyé… RENDRE LA JUSTICE lève le voile sur les individus qui le composent, et composent au quotidien avec cette complexité et ces paradoxes. Malgré la lourdeur, la fatigue et la distance imposée par la procédure, l’humain est toujours là, et même plus présent que jamais, mis à nu et à vif derrière la robe et l’hermine. 
A travers des témoignages dépouillés de tout apparat, la justice s’incarne…

  • Le Roi D’Ici (Les découvertes Du Saint-André) Un long d’Avenarius D’Ardronville.

Alors qu’il se promenait sous l’orage au pied d’un château en ruine, un simple d’esprit est frappé par la foudre et se croit appelé à régner. Voici dix ans que Jean-Jacques porte couronne, entouré d’une cour qui s’amuse à jouer avec sa folie sympathique. Ayant acquis une solide réputation, notre roi reçoit la visite d’une équipe de tournage : un reportage est fait sur lui. Le Roi d’ici présente son quotidien, sa pensée politique singulièrement illusoire. Mais ne propose-t-il pas de bonnes joies ?


  • J’Aimerais Qu’Il Reste Quelque Chose (Vendredi Distribution) Documentaire de Ludovic Cantais.

Chaque semaine, une équipe de bénévoles du Mémorial de la Shoah à Paris  recueille des témoignages et collecte les archives personnelles des  déportés et de leurs familles. J’AIMERAIS QU’IL RESTE QUELQUE CHOSE va à va rencontre de ceux qui racontent et donnent ainsi que de ceux qui  écoutent et reçoivent pour sauvegarder et transmettre le souvenir des  victimes de la Shoah.  Au fil des entretiens, au détour d’une histoire,  s’affirme l’indélébile présence des absents.


  • Océan (Arizona Distribution) Documentaire autobiographique d’Ocean.

Autoportrait intime, sur toute une année, d’un homme transgenre que les gens connaissaient jusque-là sous le nom d’Océanerosemarie. Enfin prêt à affronter le regard social, Océan décide de faire son coming out, de changer de genre et de s’affirmer tel qu’il est : un homme trans. Drôles, sincères, bouleversants, comment Océan et son entourage vont-ils traverser chacune des étapes physiques, psychologiques et sentimentales de cette transition  » Femme vers Homme  » ?

  • Graines De Ronds-Points (Electron Libre Compagnie) Nouveau documentaire de Jean-Paul Julliand après Dis Maitresse (0.7k).

Graines de ronds-points raconte les trois  » camps  » qu’ont connus les gilets jaunes de Vienne, en Isère, entre novembre 2018 et juin 2019. Il croise cette chronologie avec les grandes questions que (se) pose cet OVNI politique. Importance de la croissance du pouvoir d’achat pour les citoyens mais aussi pour la relance économique. Exigence de plus d’égalités, notamment de plus de justice fiscale. Quels contrôles de l’activité des élus, une fois ceux-ci élus ? Quel fonctionnement démocratique ? Voire quelles organisations politiques ne confisquant pas le pouvoir des mains des citoyens ? Quels rapports entretenir avec les associations citoyennes, les syndicats et les partis politiques ? Autre préoccupation très présente sur les ronds-points Viennois : lier  » lutte pour la fin du mois et lutte contre la fin du Monde « . 
Sans oublier, les aventures humaines qui ont, six mois durant, bousculé les vies de ces hommes et de ces femmes, de ces jeunes et de ces retraités, de ces chômeurs et de ces travailleurs, de ces militants et de ces désabusés de la politique, qui tous ont, soudain, basculé dans une utopie qu’ils n’espéraient plus.


  • Pères Et Impaires (L’Agence Du Court-Métrage)

Conçu par l’AFCAE et L’Agence du court métrage, ce programme destiné aux adolescents de 13 ans et plus se compose de 6 courts métrages.

Absents, fantasmés, ringards, fragiles… les pères réunis dans ce programme sont décidément bien imparfaits. Mais est-ce que ça existe vraiment un père idéal, voire simplement normal !?

En questionnant la figure du père, les films de ce programme se proposent d’explorer les liens familiaux, thème à résonance tant individuelle que collective.

Six histoires et autant de familles portées à l’écran par des cinéastes dont les regards, empreints de tendresse et de sensibilité, ne rendent les destinées que plus bouleversantes.

• 5 ans après la guerre de Samuel Albaric, Martin Wiklund et Ulysse Lefort (Documentaire animé, France, 2017, 16’, Les Fées productions / Miyu productions)

• Coach de Ben Adler (Fiction, France, 2014, 14’, Fluxus Films)

• Un dia en el parque de Diego Porral (Animation, Espagne, 2017, 3’, Diego Porral)

• Je sors acheter des cigarettes d’Osman Cerfon (Animation, 2018, 14’, Miyu Productions)

• Chien bleu de Fanny Liatard et Jérémy Trouilh (Fiction, 2018, 17’, Frenzy Studios)

• Clumsy Little Acts of Tenderness de Miia Tervo (Fiction, 2015, Finlande, 9’, Mjölk Movies)

  • Marjaavaan (Aanna Films) Film indien de Milap Zaveri.

Le film raconte l’histoire d’amour entre Raghu et Zoya profitant de leur vie jusqu’à ce qu’uun chef de gang aux intentions néfastes bouleverse leur monde.

Synospsis © Distributeurs & Allociné

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