Cette semaine dans les salles

bases sortie 1-7-2015

Cette semaine, les exploitants comptent sur Terminator Genisys et Les Profs 2 pour remplir les salles. Les cinéphiles eux se tourneront vers Victoria et Tales of Tales.

 

  • TERMINATOR GENISYS (Paramount Pictures France ~770 copies) Après T1 (3M), T2 (6.1M), T3 (3.3M) et T4 (1.5M), voici le nouvel opus de la saga avec laquelle Schwarzenegger a réalisé ses meilleurs scores en France.

Le leader de la résistance John Connor envoie le sergent Kyle Reese dans le passé pour protéger sa mère, Sarah Connor et préserver l’avenir de l’humanité. Des événements inattendus provoquent une fracture temporelle et Sarah et Kyle se retrouvent dans une nouvelle version du passé. Ils y découvrent un allié inattendu : le Guardian. Ensemble, ils doivent faire face à un nouvel ennemi. La menace a changé de visage.

 

  • LES PROFS 2 (UGC Distribution ~795 copies) Ce deuxième opus fera-t-il aussi bien que le premier sortie en avril 2013 (3.9M)?

Les pires Profs de France débarquent en Angleterre pour une mission ultra-secrète. Avec Boulard, le Roi des cancres, ils sont parachutés dans le meilleur lycée du pays, et ils vont appliquer leurs célèbres méthodes sur la future élite de la nation. L’enjeu est énorme : de leur réussite dépendra l’avenir du Royaume tout entier… Cette année : aux meilleurs élèves, les pires profs quand même !!!

 

  • VICTORIA (Jour2fête/Version Originale/Condor ~105 copies) Un film tourné en un seul plan séquence et en temps réel et qui a remporté de multiples récompenses (Beaune, Berlin, German Film Awards). A ne pas rater.

5h42. Berlin. Sortie de boîte de nuit, Victoria, espagnole fraîchement débarquée, rencontre Sonne et son groupe de potes. Emportée par la fête et l’alcool, elle décide de les suivre dans leur virée nocturne. Elle réalise soudain que la soirée est en train de sérieusement déraper…

PHOTOS DE L’AVANT-PREMIERE

CRITIQUE

 

  • TALES OF TALES (Le Pacte ~194 copies) Après Gomorra (514k) et Reality (127k), le nouveau Matteo Garrone.

Il était une fois trois royaumes voisins où dans de merveilleux châteaux régnaient rois et reines, princes et princesses : un roi fornicateur et libertin, un autre captivé par un étrange animal, une reine obsédée par son désir d’enfant… Sorciers et fées, monstres redoutables, ogre et vieilles lavandières, saltimbanques et courtisans sont les héros de cette libre interprétation des célèbres contes de Giambattista Basile.

CRITIQUE

 

  • LOST FOR WORDS (Chapeau Melon Distribution ~4 copies)

Un Américain à Hong Kong, une jeune danseuse envoutante, une histoire d’amour naissante, un grand père meurtri par la guerre du Vietnam… Voilà les ingrédients de ce long métrage. Leur amour résistera-t-il ?

 

  • FANTASIA (Nour Films ~20 copies)

Une famille recomposée dans une ville industrielle chinoise. Lorsque les hospitalisations du père deviennent de plus en plus fréquentes et coûteuses, toute la famille se trouve ébranlée. La mère enchaîne les petits boulots et se démène pour trouver de l’argent, la grande soeur décide de travailler secrètement dans un bar et Lin, le petit frère, stigmatisé par la maladie de son pèreet rejeté par ses camarades, fuit l’école et se réfugie dans un monde rêvé, un monde fantasmatique,un monde de fantaisie.

 

  • LOVE & MERCY (ARP Sélection ~135 copies) Pour les fans des Beach Boys.

Derrière les mélodies irrésistibles des Beach Boys, il y a Brian Wilson, qu’une enfance compliquée a rendu schizophrène. Paul Dano ressuscite son génie musical, John Cusack ses années noires, et l’histoire d’amour qui le sauvera.

 

  • DOMINIQUE A, LA MEMOIRE VIVE (La Huit ~1 copie)

Que fait-­‐on de notre passé ? Pourquoi revenons-­‐nous cycliquement vers les eaux troubles d’un temps révolu ? En vingt ans de carrière, ces questions semblent hanter la discographie et les textes de Dominique A. Depuis La Fossette (1992), oeuvre qui a décrassé la chanson française par son lyrisme minimal et bricolé, jusqu’à la consécration méritée pour l’ambitieux Vers les lueurs (2012) aux Victoires de la Musique, son parcours artistique peut se lire comme une véritable déclaration d’indépendance vis à vis des codes de la chanson française. Son récit autobiographique Y revenir publié la même année ouvrait les portes de l’enfance et donnait quelques pistes biographiques. En explorant en sa compagnie les lieux clés d’une géographie intime, en le découvrant interprétant sur scène ses chansons en solo ou en groupe, Dominique A, la mémoire vive avance à rebours, fouille dans « les tiroirs mémoriels » de l’auteur pour en extraire quelques éléments saillants d’une singularité musicale sans égal.

 

  • HARAMISTE (Les films de l’autre cougar ~5 copies) Un moyen métrage d’Antoine Desrosières.

On ne badine pas avec l’amour. Rim, dix-huit ans, rappelle à sa soeur Yasmina, dix-sept ans, qu’elle ne doit pas parler au garçon qui lui plaît. Mais à force de parler de tout ce qui est interdit, cela donne des envies. De rappels en conseils, Haramiste raconte l’histoire de ces deux soeurs au dress code voile – doudoune – basket, qui s’adorent, s’affrontent, se mentent, se marrent, se font peur, découvrent le frisson de la transgression et du désir amoureux.

 

 

  • LE PRINCE DE HOMBOURG (Carlotta Films ~8 copies) Un film présenté à Cannes en 1997…

Le jeune prince de Hombourg, commandant de la cavalerie du Brandebourg pendant la guerre de Hollande, est en proie au somnambulisme. Une nuit, il ramasse un gant laissé par sa fiancée Natalia. Le lendemain, fasciné par la vision de ce gant, il n’écoute que distraitement les consignes militaires et, sur le champ de bataille, désobéit. L’oncle du prince, chef de l’armée, exige que son indiscipline soit punie de façon exemplaire…

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