Critique de Dragons 3 : Le Monde Caché.

Dragons 3

9.8

Scénario

9.5/10

Casting

9.5/10

Réalisation

10.0/10

Bande originale

10.0/10

Les pour

  • Une suite touchante
  • Visuellement très beau
  • Belle histoire

Les contre

  • Méchant trop simple

Twitter : #Dragons3

Titre VO : How to train your dragon : The Hidden World

Réalisateur : Dean DeBlois

Acteurs/doublage vo : Jay Baruchel, America Ferrera, Cate Blanchett, Kit Haringotn

Durée: 1h44

Date de sortie :6 février

Après le succès des deux précédents opus, Dean DeBlois revient cette année avec sa troisième réalisation tant attendue, Dragons 3 : Le Monde Caché.

Il remet en scène tous ces personnages que l’on connaît déjà bien, ainsi que leurs célèbres dragons. Ce troisième opus se veut plus important et aborde des sujets plus conséquents. Le devoir de prendre les choses en main pour Harold qui est maintenant le Roi et qui va devoir se trouver une Reine, l’émancipation de Krokmou qui va finalement trouver sa promise, par conséquent le film tourne énormément autour du thème de l’amour. Il devient donc intéressant de voir Krokmou rencontrer quelqu’un et s’éloigner doucement d’Harold.

Harold et son équipe se chargent de sauver les dragons jusqu’à la rencontre de Grimmel, le méchant de l’histoire qui se charge de capturer les dragons et dont sa passion favorite reste de tuer les Furies Nocturnes. Harold décide, après une attaque dans leurs village, de partir à la recherche d’un monde que son père lui racontait étant petit, le monde caché. On peut reprocher au film de nous offrir un méchant assez basique, sans background; son but étant de tuer toutes les furies nocturnes mais sans donner de raisons particulière, ici gît le seul petit problème du film.

Quant au reste, que ce soit l’animation où la musique il n’y a rien à dire, il est dans la lignée des deux autres films précédents et offre même de magnifiques plans. On apprécie le visuel de la nouvelle copine de Krokmou, qui sont adorables tous les deux, ce qui fait plaisir à voir.

Un troisième film encore plus porté sur l’amour, avec une fin qui émeut au possible. A voir absolument.

Mais comme le dit si bien Stoïck la brute, le père d’Harold : « L’amour va de paire avec le chagrin » mais « Il n’y a pas de plus beau cadeau que l’amour.« 

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