Critique de Dealer (2022)

Dealer (2022)

8.9

Scénario

9.0/10

Réalisation

8.8/10

Casting

8.8/10

Les pour

  • Une histoire qui prend aux tripes

Twitter : #Dealer

Titre VO :

Réalisateur : Jeroen Perceval

Acteurs : Veerle Baetens, Bart Hollanders, Sverre Rous

Durée : 1H44

Date de sortie : 28 septembre 2022

Le cinéma belge frappe à nouveau et montre s’il fallait encore en douter qu’il ose proposer des choses bien au-delà des apparences. Si effectivement l’idée de base peut sembler déjà vue (Un enfant qui deal), on se rend compte rapidement que Dealer va plus loin et offre un visage différent de ce que le cinéma français propose en général ; Comprenez par là une histoire avec rédemption et happy ending pour pouvoir passer à 20H50 sur TF1 sans choquer bobonne devant sa télé.

Oui Dealer ne va pas par quatre chemins et clairement on ressort du film avec de la tristesse et aussi de la colère tant on a de la compassion pour le jeune héros parfaitement interprété par le jeune Sverre Rous.

Joliment accompagné du côté des acteurs, Sverre Rous est également bien mis en valeur par la caméra et l’écriture sans failles de Jeroen Perceval.

Pour ce qui est du rythme du film, ce dernier comprend assez de rebondissement que pour tenir sur toute sa durée et à nouveau la beauté des images fait le reste. La bande originale est aussi de qualité.

Seule ombre au tableau qui ne devrait pas en être une et pourtant, on sait qu’elle risque de freiner le grand public : Le film est proposé en néerlandais.

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