June the girl est de retour !

June The Girl est de retour… et elle n’a rien perdu de sa magie !

Ça faisait un moment qu’on n’avait plus de nouvelles de June The Girl. Discrète depuis son premier album, l’artiste qui aimé mélanger le français et l’anglais dans ses titres avait presque disparu des radars… Et puis, sans crier gare, elle revient avec “Sweet Thérapie” — et là, on se dit direct : Mais oui elle nous avait manqué !

Dès les premières secondes de l’ouverture “Dancing with my monsters”, la magie opère. Une prod électro-pop efficace, une voix toujours aussi douce… et un refrain qui s’imprime dans le crâne pour ne plus jamais en sortir. Clairement, cette piste pourrait bien devenir l’un de ses futurs classiques.

Et le feu ne s’éteint pas avec la deuxième piste : “Pretty girls always smile” déboule et impose son statut de tube immédiat. C’est catchy, moderne, ça sent l’été et les playlists en boucle. Franchement, ça aurait même pu (dû ?) être le lead single….

Parce que oui, “Jusqu’à l’Os”, choisi comme premier extrait, est sympa, mais à côté de l’ouverture explosive du disque, il fait un peu pâle figure. Une bonne chanson, certes, mais pas forcément la meilleure vitrine pour ce projet riche et inventif.

Et puis arrive “Tinder Terreur”… et là, elle balance une réf à Freddy Krueger comme si de rien n’était. C’est fun, c’est malin, et en plus c’est un bon son. On commence à capter que l’album cache bien son jeu.

Le délire continue avec “Mr Slender Man”, un morceau dansant, entre ombre et lumière, avec toujours ce mélange de français-anglais qui fait la patte de June. On ne peut pas s’empêcher de bouger la tête et de fredonner le refrain.

Mais le meilleur clin d’œil, c’est peut-être “Bates Motel”. Inspiré par le Psychose d’Hitchcock, ce titre ultra entraînant confirme une chose : June The Girl brille quand elle s’éclate dans la pop, bien plus que dans les balades. Ce morceau-là, on l’imagine déjà repris en chœur par les fans en concert.

“Sweet Thérapie” n’est pas juste un retour, c’est une renaissance.

Un album cohérent, fun, rempli de pépites… Il lui manque peut-être le méga-hit mainstream pour exploser partout, mais si “Dancing with my monsters” reçoit la promo qu’il mérite, on tient peut-être là LE morceau qui fera basculer June dans une nouvelle dimension.

A noter que June The girl sera en live aux Etoile pour la release party et les places sont dispo…