Cette semaine dans les salles

Cette semaine, parmi les nouveautés, une franchise et une palme d’or . Bon choix et bonnes séances.

  • X-Men Dark Phoenix (Twentieth Century Fox France) Douzième film de la franchise X-Men après X-Men (1.86M), X-Men 2 (2.82M), X-Men L’Affrontement Final (2.82M), X-Men Origins Wolverine (1.95M), X-Men Le Commencement (2.10M), Wolverine Le Combat De L’Immortel (1.98M), X-Men Days Of Future Past (3.29M), Deadpool (3.76M), X-Men Apocalypse (2.16M), Logan (2.33M) et Deadpool 2 (2.60M). Dans la chronologie de la franchise, le film est la suite de X-Men Le Commencement, X-Men Days Of Future Past et X-Men Apocalypse. C’est le premier long de Simon Klinberg en tant que réalisateur mais il connait la franchise puisqu’il était scénariste sur X-Men L’Affrontement Final , X-Men Days Of Future Past et  X-Men Apocalypse.

Dans cet ultime volet, les X-Men affrontent leur ennemi le plus puissant, Jean Grey, l’une des leurs.
Au cours d’une mission de sauvetage dans l’espace, Jean Grey frôle la mort, frappée par une mystérieuse force cosmique. De retour sur Terre, cette force la rend non seulement infiniment plus puissante, mais aussi beaucoup plus instable. En lutte contre elle-même, Jean Grey déchaîne ses pouvoirs, incapable de les comprendre ou de les maîtriser. Devenue incontrôlable et dangereuse pour ses proches, elle défait peu à peu les liens qui unissent les X-Men.

  • Ma (Universal Pictures International France) Nouveau long de Tate Taylor après La Couleur Des Sentiments (651k), Get On Up (128.4k) et La Fille Du Train (479.1k). Dans la catégorie horreur, sur l’année 2019, c’est actuellement Simetierre qui a le plus attiré (850.7k) et pour les productions Blumhouse, le record d’affluence est détenu par Get Out (1.14M).

Sue Ann, une femme solitaire vit dans une petite ville de l’Ohio. Un jour, une adolescente ayant récemment emménagé, lui demande d’acheter de l’alcool pour elle et ses amis ; Sue Ann y voit la possibilité de se faire de nouveaux amis plus jeunes qu’elle. Elle propose aux adolescents de traîner et de boire en sûreté dans le sous-sol aménagé de sa maison. Mais Sue Ann a quelques règles : ne pas blasphémer, l’adolescent qui conduit doit rester sobre, ne jamais monter dans sa maison et l’appeler MA. Mais l’hospitalité de MA commence à virer à l’obsession. Le sous-sol qui au début était pour les adolescents l’endroit rêvé pour faire la fête va devenir le pire endroit sur terre.

  • Piranhas (Wild Bunch Distribution) Nouveau long de Claudio Giovannesi après Ali A Les Yeux Bleus (8.3k) et Fiore (9.1k). Le réalisateur adapte le roman éponyme de Roberto Saviono également auteur de Gomorra. Le film a reçu le prix du jury au festival international du film policier de Beaune 2019 et l’ours d’argent du meilleur scénario à la berlinale 2019.

Nicola et ses amis ont entre dix et quinze ans. Ils se déplacent à scooter, ils sont armés et fascinés par la criminalité. Ils ne craignent ni la prison ni la mort, seulement de mener une vie ordinaire comme leurs parents. Leurs modèles : les parrains de la Camorra. Leurs valeurs : l’argent et le pouvoir. Leurs règles : fréquenter les bonnes personnes, trafiquer dans les bons endroits, et occuper la place laissée vacante par les anciens mafieux pour conquérir les quartiers de Naples, quel qu’en soit le prix.

  • Parasite (Les Bookmakers / The Jokers) Nouveau long de Bong Joon Ho après Memories Of Murder (84k), The Host (159.4k), Tokyo (71.5k), Mother (80.8k) et Snowpiercer Le Transperceneige (678k). Le film est reparti de Cannes 2019 avec la palme d’or.

Toute la famille de Ki-taek est au chômage, et s’intéresse fortement au train de vie de la richissime famille Park. Un jour, leur fils réussit à se faire recommander pour donner des cours particuliers d’anglais chez les Park. C’est le début d’un engrenage incontrôlable, dont personne ne sortira véritablement indemne…

 CRITIQUE 
  • Les Particules (Les Films Du Losange) Premier long de Blaise Harrisson.

Pays de Gex, frontière franco-suisse. P.A. et sa bande vivent leur dernière année au lycée.
A 100 mètres sous leurs pieds, le LHC, l’accélérateur de particules le plus puissant du monde, provoque des collisions de protons pour recréer les conditions d’énergie du big bang, et détecter des particules inconnues à ce jour. Tandis que l’hiver s’installe et que P.A. voit le monde changer autour de lui, il commence à observer des phénomènes étranges, des modifications dans l’environnement, de façon imperceptible d’abord, puis c’est tout son monde qui semble basculer…

  • L’Autre Continent (Sophie Dulac distribution) Deuxième long de Romain Cogitore après Nos Résistances (3.2k).

Maria a 30 ans, elle est impatiente, frondeuse, et experte en néerlandais. Olivier a le même âge, il est lent, timide et parle quatorze langues. Ils se rencontrent à Taïwan. Et puis soudain, la nouvelle foudroyante. C’est leur histoire. Celle de la force incroyable d’un amour. Et celle de ses confins, où tout se met à lâcher. Sauf Maria.

  • Lucie Après Moi Le Déluge (Cinédia Films) Documentaire de Sophie Loridon.

Entrer chez Lucie, c’est comme un retour vers le passé. Ici, rien n’a changé. Depuis toujours, j’ai rêvé de partager en images la vie de cette cousine éloignée.Cette paysanne du haut plateau d’Ardèche a construit sa vie autour du travail et de la nature environnante. Durant un an, au fil des saisons, nous allons à sa rencontre avec une caméra. Grâce à la complicité qui me lie à Lucie, aux nombreuses visites qu’elle reçoit, à son sens de l’humour conjugué au bon sens, nous sommes transportés dansun univers fait de simplicité…Nous ramenant à l’essentiel.

  • Etre Vivant Et Le Savoir (Pathé) Documentaire d’Alain Cavalier dont les meilleurs scores sont Thérèse (1.47M), La Chamade (972.8k), L’Insoumis (711.3k), Mise A Sac (576.7k), Le Combat Dans L’Île (544.3k), Un Etrange Voyage (199.5k) et Pater (149k).

Emmanuèle Bernheim et Alain Cavalier sont liés par trente ans d’amitié. Ils préparent un film d’après le livre autobiographique de la romancière : Tout s’est bien passé. Elle y raconte comment son père lui a demandé  » d’en finir  » à la suite d’un accident cardio-vasculaire. Cavalier lui propose de tenir son propre rôle et que lui, soit son père. Un matin d’hiver, Emmanuèle téléphone à Alain ; il faudra retarder le tournage jusqu’au printemps, elle est opérée d’urgence.

  • Et Je Choisis De Vivre (Orawa Prod) Documentaire de Nans Thomassey et Damien Boyer.

 » Quand on perd son père ou sa mère on est orpheline, quand on perd son conjoint on est veuve mais quand on perd son enfant, il n’y a plus de mots « .  À tout juste 30 ans, Amande perd son enfant. Pour se reconstruire, elle entreprend alors un parcours initiatique dans la Drôme, accompagnée de son ami réalisateur, Nans Thomassey. Ensemble, et sous l’œil de la caméra, ils partent à la rencontre d’hommes et de femmes qui ont, comme Amande, vécu la perte d’un enfant. De cette quête de sens naît Et je choisis de vivre, un film sur le deuil, à la fois sensible, émouvant et rempli d’espoir.

  • Salauds De Pauvres (Axxon Films) Douze histoires pour ce film à sketches : « parlons en » de Christpher Alévêque, « fil rouge » de Beef, « le greffé » de Brigitte Busquet, « alice » de Jean-Claude Deret, « le cadeau » de Charles Dubois, « regrets » de Sophie Forte, « 115 bonsoir » de Giedré, « l’ombre des vacances » de Nadia Kozlowki Bourgade, « casino du matin chagrin » de Patrice Leconte, « la fuite » de Phil Marboeuf, « les petits frères des riches » d’Albert Meslay, « mierda pobre » de Miquel Ange Sarmiento et Rémi cotta. 

Salauds de pauvres est un film à sketches, écrit par douze auteurs. Miroir ou projection, Salauds de pauvres s’amuse de faits de tous les jours et ne raconte pas une histoire, mais des histoires. À travers ces histoires courtes et amères, sont dévoilées toutes les fissures du genre humain, qui, dans un mouvement de mondialisation et de néolibéralisme de plus en plus affirmé, peuvent amener l’homme ordinaire à être un monstre de lâcheté, de cruauté, d’indifférence ou d’hypocrisie. Salauds de pauvres sous un angle décalé, retranscrit la réalité de façon provocante ou non, toujours avec la même ambition : faire réagir.

  • Face Au Vent (Paraiso / La Huit Distribution) Premier lond de Meritxell Collel Aparicio.

Mónica a 47 ans, elle est chorégraphe et vit à Buenos Aires. Quand elle reçoit un appel de sa sœur qui lui apprend que leur père est très malade, elle décide de se rendre à son chevet, dans son village natal au nord de l’Espagne. A son arrivée, son père est déjà mort, elle va rester pour aider sa mère à vendre la maison familiale. Au fil des longs mois d’hiver dans ces terres arides et isolées, Mónica redécouvre cette femme qu’elle n’a pas vue depuis vingt ans.

  • L’Enseignante (Vendredi Distribution) Nouveau long de Denis Dercourt après Le Déménagement (3.2k), Les Cachetonneurs (22k), Lise Et André (12.7k), Mes Enfants Ne sont Pas Comme Les Autres (58.2k), La Tourneuse De Pages (724.9k), Demain Dès L’Aube (42.2k), La Chair De Ma Chair (1k), Pour Ton Anniversaire (10.1k) et En Equilibre (543.1k).

A Berlin, un jeune migrant souhaite apprendre l’allemand. Mais l’enseignante qu’il choisit suit une méthode originale qu’elle veut appliquer à la lettre. A mesure que les leçons progressent, l’élève devient l’esclave de l’esprit pervers de son éducatrice…

  • Palmyre (Vendredi distribution) Nouveau documentaire de Monika Borgmann et Lokman Slim après Massaker (1.9k).

À la suite du soulèvement populaire contre le régime syrien en 2011, un groupe d’anciens détenus libanais décide de rompre le silence sur leurs longues années passées dans la prison de Palmyre, l’une des plus terribles du régime des Assad.

  • Le Chant De La Couleuvre (Les Découvertes Du Saint-André) Un long d’Emmanuel Raquin Lorenzi.

Le 12 juin 1992 disparaissait en Transylvanie Raimon Lusinanu, journaliste caméraman roumain, qui enquêtait lui-même dans la région sur des disparitions inexpliquées.

  • Van Gogh Et Le Japon (Seventh Art Productions) Documentaire De David Bickerstaff.

« J’envie les Japonais », écrivait Van Gogh à son frère, Théo. Grâce à l’exposition sur laquelle est basé ce film, « Van Gogh et le Japon », au musée Van Gogh d’Amsterdam, on comprend pourquoi. Bien que Vincent Van Gogh n’ait jamais visité le Japon, il reste le pays qui a eu le plus d’influence sur lui et son œuvre. En se rendant dans les galeries d’art japonais à Paris et en créant sa propre image du Japon après des recherches approfondies, des collections d’estampes et de longues discussions avec d’autres artistes, la découverte des œuvres japonaises entraîna la carrière de Van Gogh dans une nouvelle direction très excitante.

Synopsis © Distributeurs & Allociné

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