Critique de The sadness

The sadness

8.3

Scénario

9.0/10

Casting

8.0/10

Réalisation

8.0/10

Les pour

  • Un sujet fort et bien amené
  • Très gore !!

Twitter : TheSadness #EtrangeFestival @etrangefestival

Titre VO :

Réalisateur : Robert Jabbaz

Acteurs : Regina Lei, Berant Zhu

Durée : 1H39

Date de sortie : Inconnue (Vu à L’étrange Festival)

La première chose que l’on a envie de crier à la sortie de ce film est « Mais qui est le fou qui a osé mettre un simple Interdit aux – de 12 ans quand clairement ce film devrait être classé – 18 ???? »

Oui The sadness est Hyper violent, hyper malsain et hyper gore !

Bien plus qu’un simple film de zombie basique en mode mort vivant, The sadness fonctionne parce qu’il innove et propose quelque chose de différent. Ici pas question de simplement manger de l’humain puisque la transformation passe avant tout par une poussée à l’extrême des bas instincts. Ainsi on voit un homme d’apparence tranquille, à peine doué dans le flirt devenir un prédateur sexuel, un autre prenant plaisir à se faire tabasser, d’autres qui n’hésitent pas à tuer et ainsi de suite… On ne va pas tout vous dévoiler !

Mais bien plus qu’un simple film qui enchaîne les giclées de sangs ici et là, The Sadness nous parle forcément en cette période de crise en abordant l’aspect politique, électorale et morale en pleine pandémie ! Oui dans ce film, la mutation et la poussée des bas instincts provient d’un virus. Sans tomber dans le film moralisateur avec un message forcé, The sadness touche avec parcimonie certains sujets sensibles et c’est bien vu.

Enfin, sachez que ce film n’est pas pour tout le monde et l’on a bien envie de dire aux gens qui ont été choqués à Cannes par Titane d’aller voir ce film…. Pour comprendre réellement ce qui est « choquant » ce qu’est un film « violent », « gore » et de « genre ».

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