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Acteurs: Mathias Malzieu, Olivia Ruiz, Grand Corps Malade, Jean Rochefort, Marie Vincent, Emily Loizeau…
Réalisateur : Mathias Malzieu, Stéphane Berla
Date de sortie: 5 février 2014 (1H42)
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Attention cette critique va déborder de compliments, vous voilà prévenu.
Je sors d’une projection magnifique remplie de magie, de beauté et d’ingéniosité visuelle. Avec Jack et la mécanique du cœur, le cinéma français atteint des sommets dans l’animation 3D type stop motion et réussi surtout à allier une qualité visuelle, scénaristique, auditive et le tout rempli d’une poésie sans pareil.
Ce film déborde d’une tendresse incroyable, d’une imagerie et d’un univers dont Tim Burton pourrait facilement être jaloux.
Non, vraiment il n’y a rien de négatif à redire sur ce film.
Véritable comédie musicale puisque il se base sur l’album et le livre « la mécanique du coeur » du groupe rock Dionysos, c’est bien entendu un plaisir de retrouver toutes ces belles comptines mises en images de façon aussi incroyable. Le casting reste évidemment le même que celui présent sur l’album dont un jean Rochefort en Georges Méliès totalement parfait dans le rôle.
Au de là des chansons de Dionysos (que l’on apprécie ou pas, ce n’est qu’une question de goû ), on se retrouve devant un compte romantique et touchant sur la force de l’amour.
Mais surtout, c’est l’ingéniosité avec laquelle l’histoire est mise en image qui aura retenu le plus mon attention. En effet le film fourmille de passages difficilement explicables par écrit et qu’il est vraiment conseillé de voir pour ainsi comprendre toute la subtilité et la poésie de ces dites images qui n’ont jamais autant sublimé des mots.
A ce sujet, la toute dernière scène de fin est un pure moment de poésie qui vous déchirera l’horloge.
Il en certain que si notre héros Jack a une horloge à la place du cœur, ce film est à lui seul une horlogerie de tendresse.
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