Cette semaine dans les salles

  • Black Widow (The Walt Disney Company France) Nouveau long de Cate Shortland après Lore (16.9k). Ce film est le vingt-quatrième de l’univers cinématographique Marvel dont les meilleurs scores sont Avengers Endgame (6.94M), Avengers Infinity War (5.19M), Avengers (4.54M), Avengers L’Ere D’Ultron (4.33M) et Iron Man 3 (4.30M). Ce film est également le premier de la phase IV.

Natasha Romanoff, alias Black Widow, voit resurgir la part la plus sombre de son passé pour faire face à une redoutable conspiration liée à sa vie d’autrefois. Poursuivie par une force qui ne reculera devant rien pour l’abattre, Natasha doit renouer avec ses activités d’espionne et avec des liens qui furent brisés, bien avant qu’elle ne rejoigne les Avengers.

CRITIQUE

  • Les Croods 2 Une Nouvelle Ere Universal Pictures International France) Premier long de Joel Crawford. Ce film est la suite de Les Croods sorti en 2013 (2.35M).

Les Croods ont survécu à leur part de dangers et de catastrophes mais ils vont maintenant devoir relever leur plus grand défi : rencontrer une autre famille.
Les Croods ont besoin d’un nouvel endroit où habiter. La famille préhistorique part alors en quête d’un endroit plus sûr. Quand ils découvrent un paradis idyllique entouré de murs, ils pensent que tous leurs problèmes sont résolus… Mais une famille y vit déjà : les Betterman.
Avec leur cabane dans les arbres, leurs inventions étonnantes et leurs hectares irrigués de produits frais, Les Betterman sont bien au-dessus des Croods sur l’échelle de l’évolution. Ils accueillent les Croods avec joie, mais les tensions ne tardent pas à s’intensifier entre la famille des grottes et la famille moderne.
Mais une nouvelle menace va propulser les deux familles dans une aventure épique hors des murs, ce qui les obligera à accepter leurs différences et à se servir des forces des uns et des autres.

CRITIQUE

  • La Chapelle Du Diable (Sony Pictures Releasing France) Un long d’Evan Spiliotopoulos adapté du roman « sanctuaire » de James Herbert.

Un journaliste discrédité tente d’insuffler un second élan à sa carrière après avoir découvert que de nombreux miracles ont eu lieu dans une petite ville de la Nouvelle-Angleterre. Ces mystères relèvent-ils du divin ou peut-être d’une source plus sombre ?

CRITIQUE

  • Fisherman’s Friends (Alba Films) Un long de Chris Foggin.

Danny, un producteur de musique londonien branché se rend en Cornouailles pour un enterrement de vie de garçon. Quand son patron et ami lui lance le défi de faire signer un contrat aux pécheurs du coin pour un album de chants de marins, Danny tombe dans le panneau. Bien loin de ses repères citadins, il tente tant bien que mal de gagner la confiance de cet improbable boys band, qui accorde plus d’importance à l’amitié qu’à la célébrité.

CRITIQUE

  • Fritzi (Septième Factory) Film d’animation de Ralf Kukula et Matthias Bruhn. On doit au premier A La Découverte Du Monde (54.1k) et au second Molly Monster (14.2k).

Leipzig, Allemagne de l’Est, 1989. Pendant l’été, Sophie, la meilleure amie de Fritzi part en vacances en lui confiant son chien adoré, Sputnik. A la rentrée des classes, Sophie est absente et sa famille a disparu. Avec Sputnik, Fritzi entreprend de traverser clandestinement la frontière pour retrouver celle qui leur manque tant. Une aventure dangereuse… et historique !

CRITIQUE

  • Irma (Wayna Pitch) Un long de Vinicius Lopes et Luciana Mazeto.

Lorsque la maladie de leur mère s’aggrave, deux soeurs se rendent dans le sud du Brésil à la recherche de leur père. Sur la route, entre fantômes, super pouvoirs et dinosaures, la plus jeune ne se doute de rien, mais sa grande soeur sait que plus rien ne sera jamais comme avant. Alors que l’astéroïde WF42 se dirige vers la terre, le paysage apparaît sous une lumière rose inconnue, le vent souffle et le voyage dissout la frontière entre le monde intérieur et extérieur.

CRITIQUE

  • Kuessipan (Les Alchimistes) Un long de Myriam Verreault adapté des récits poétiques de Naomi Fontaine.

Nord du Québec. Mikuan et Shaniss, deux amies inséparables, grandissent dans une réserve de la communauté innue. Petites, elles se promettent de toujours rester ensemble. Mais à l’aube de leurs 17 ans, leurs aspirations semblent les éloigner : Shaniss fonde une famille, tandis que Mikuan tombe amoureuse d’un blanc et rêve de quitter cette réserve devenue trop petite pour elle…

  • Moffie (Outplay) Nouveau long d’Olivier après Beauty (11.1k). Le film est tiré des mémoires d’André Carl Van Der Merwe.

1981, Nicholas a 16 ans, comme tous les jeunes blancs Sud-Africains de son âge, il doit accomplir son service militaire pendant deux ans. Durant cette période, le gouvernement sud-africain, blanc, raciste et ségrégationniste, mène une politique étrangère qui vise à combattre les communistes et die swart gevaar : « le danger noir ». Nicholas est envoyé sur le front au sud de l’Angola pour défendre le régime de l’apartheid. Il tente alors de survivre tant aux horreurs de la guerre qu’à la brutalité de l’armée.

CRITIQUE

  • La Saveur Des Coings (Urban Distribution) Nouveau long de Kristina Grozeva et Peter Valchanov après The Lesson (5.7k) et Glory (29.6k).

Vasil, artiste peintre septuagénaire vient de perdre son épouse Ivanka. Persuadé que celle-ci cherche à entrer en contact avec lui depuis l’au-delà, Vasil demande l’aide d’un medium bien connu, faiseur de miracles pour les uns, charlatan sectaire pour d’autres. Son fils Pavel tente de le ramener à la raison mais Vasil insiste obstinément pour faire les choses à sa manière…

  • Je Voulais Me Cacher (Bodega Films) Un long de Giorgio Diritti reparti de la Berlinale 2020 avec l(ours d’argent du meilleur acteur pour Elio Germano. On doit également au réalisateur L’Homme Qui Viendra (0.6k)

Expulsé par l’institution suisse qui s’occupait de lui à la fin de la Première Guerre mondiale, Antonio se retrouve en Italie contre sa volonté. Sans attache, vivant dans un grand dénuement, il s’accroche à sa raison de vivre, la peinture qu’il pratique en autodidacte. Peu à peu du public à la critique son « art » va bousculer l’académisme. Le destin incroyable et vrai d’Antonio Ligabue, l’un des maîtres de la peinture naïve aux côtés de Rousseau et Séraphine de Senlis.

  • Annette (UGC Distribution) Nouveau long de Leos Carax après Boy Meets Girl (131k), Mauvais Sang (507k), Les Amants Du Pont Neuf (867.1k), Pola X (103.4k), Tokyo (71.5k) et Holy Motors (181.6k). Le film est en compétition au Festival de cannes 2021 et en fait l’ouverture.

Los Angeles, de nos jours. Henry est un comédien de stand-up à l’humour féroce. Ann, une cantatrice de renommée internationale. Ensemble, sous le feu des projecteurs, ils forment un couple épanoui et glamour. La naissance de leur premier enfant, Annette, une fillette mystérieuse au destin exceptionnel, va bouleverser leur vie.

  • Benedetta (Pathé) Nouveau long de Paul Verhoeven dont les meilleurs scores sont Basic Instinct (4.61M), Total Recall (2.36M), Robocop (1.68M), Hollowman L’Homme Sans Ombre (1.51M), Le Beau Danube Bleu (1.41M) et qui reste sur Elle (660.9k). Le film est adapté du roman « sœur Beneditta entre sainte et lesbienne » de Judith C. Brown. Le film est en compétition au fetstival de Cannes 2021.

Au 17ème siècle, alors que la peste se propage en Italie, la très jeune Benedetta Carlini rejoint le couvent de Pescia en Toscane. Dès son plus jeune âge, Benedetta est capable de faire des miracles et sa présence au sein de sa nouvelle communauté va changer bien des choses dans la vie des soeurs.

  • Take Me Somewhere Nice (Sonata Films Distribution) Un long d’Ena Sendijarevic.

Alma voyage depuis les Pays-Bas jusqu’en Bosnie, son pays d’origine, pour rendre visite au père qu’elle n’a jamais connu. Elle y retrouve Emir, son cousin, pas très motivé à l’idée de l’aider, et Denis, son meilleur ami, bien décidé à tirer profit de la situation. Le trio va s’embarquer dans un road trip imprévisible au cœur du pays

Synopsis © Distributeurs & Allociné

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