Cette semaine dans les salles

Une semaine dominée par la nouvelle production Hasbro sans oublier les autres films. Bon choix et bonnes séances.

 

  • Transformers The Last Knight (Paramount Pictures France ~700 copies) Nouvel opus de la franchise après Transformers (1.98M), Transformers 2 La Revanche (2.27M), Transformers 3 La Face Cachée De La Lune (2.65M) et Transformers L’Age De L’Extinction (2.34M) et toujours Michael Bay aux commandes. Le meilleur score du réalisateur reste Armageddon (4.60M).

The Last Knight fait voler en éclats les mythes essentiels de la franchise Transformers, et redéfinit ce que signifie être un héros. Humains et Transformers sont en guerre. Optimus Prime n’est plus là… La clé de notre salut est enfouie dans les secrets du passé, dans l’histoire cachée des Transformers sur Terre. Sauver notre monde sera la mission d’une alliance inattendue : Cade Yeager, Bumblebee, un Lord anglais et un professeur d’Oxford. Il arrive un moment, dans la vie de chacun, où l’on se doit de faire la différence. Dans Transformers: The Last Knight, les victimes deviendront les héros. Les héros deviendront les méchants. Un seul monde survivra : le leur… ou le nôtre.
CRITIQUE

 

  • The Last Girl Celle Qui A Tous Les Dons (La Belle company) Un film de Colm McCarty sur un scénario de Mike Carey d’après son livre The Girl with All the Gifts. Le film est reparti du festival du film fantastique de geradmer avec le prix du public et le prix de la meilleure musique de film. Le film est sorti en Angleterre en septembre 2016 (147k).

Au fin fond de la campagne anglaise, une base militaire héberge et retient prisonniers un groupe d’enfants peu ordinaires qui, malgré le fait d’avoir été infectés par un agent pathogène « zombie » qui a décimé la planète, demeurent capables de penser et de ressentir des émotions. Lorsque la base est attaquée, Melanie, qui semble être la plus surdouée d’entre eux, réussit à s’échapper en compagnie de son professeur, de deux soldats et d’une biologiste qui ne voit en elle qu’un cobaye indispensable à la découverte d’un vaccin. Dans une Angleterre dévastée, Melanie doit découvrir qui elle est vraiment et décider ainsi de son propre sort comme celui de l’humanité tout entière.
CRITIQUE

 

  • Grand Froid (Diaphana Distribution ~153 copies) Premier long de Gérard Pautonnier adapté du roman de Joël Egloff Edmond Ganglion & fils.

Dans une petite ville perdue au milieu de nulle part, le commerce de pompes funèbres d’Edmond Zweck bat de l’aile. L’entreprise ne compte plus que deux employés : Georges, le bras droit de Zweck, et Eddy, un jeune homme encore novice dans le métier. Un beau matin, pourtant, un mort pointe son nez. L’espoir renaît. Georges et Eddy sont chargés de mener le défunt jusqu’à sa dernière demeure. Mais, à la recherche du cimetière qui s’avère introuvable, le convoi funéraire s’égare et le voyage tourne au fiasco.
CRITIQUE

 

  • Cherchez La Femme (Mars films) Premier long de Sou Abadi.

Armand et Leila, étudiants à Science Po, forment un jeune couple. Ils projettent de partir à New York faire leur stage de fin d’études aux Nations Unies. Mais quand Mahmoud, le grand frère de Leila, revient d’un long séjour au Yémen qui l’a radicalement transformé, il s’oppose à la relation amoureuse de sa sœur et décide de l’éloigner à tout prix d’Armand. Pour s’introduire chez Mahmoud et revoir Leila, Armand n’a pas le choix : il doit enfiler le voile intégral ! Le lendemain, une certaine Schéhérazade au visage voilé sonne à la porte de Leila, et elle ne va pas laisser Mahmoud indifférent…
CRITIQUE
AVANT-PREMIERE

 

  • Mon Poussin (UGC Distribution) Cinquième long de Frédéric Forestier après Le Boulet (3.15M), Les Parrains (612.7k), Astérix Aux Jeux Olympiques (6.80M) et Stars 80 (1.86M).

Vincent, 18 ans, se fait larguer par Elina. C’est son premier amour, c’est la fin du monde ! Ses parents décident donc de prendre les choses en main et vont tout tenter pour lui faire oublier cette fille : il devra les suivre dans une cure de désintoxication amoureuse dont ils vont imaginer le programme…

 

  • Wallay (Rezo Films ~44 copies) Un long du réalisateur suisse Berni Goldblat.

Ady a 13 ans et n’écoute plus son père qui l’élève seul. Ce dernier, à bout de ressources, décide de confier Ady à son oncle Amadou le temps d’un été.
L’oncle Amadou et sa famille habitent de l’autre côté de la Méditerranée… au Burkina Faso !
Là-bas, à 13 ans, on se doit de devenir un homme mais Ady, persuadé de partir en vacances, ne l’entend pas de cette oreille…
CRITIQUE

 

  • Bonheur Académie (Epicentre Films) Un long d’Alain Della Negra et Kaori Kinoshita avec au casting Laure Calamy actuellement à l’affiche dans Ava.

Bien décidées à trouver l’âme soeur Lily et Dominique partent sous le soleil de Croatie au summer camp annuel organisé par Raël. Entre ateliers d’éveil, méditation et quête du bonheur, les deux jeunes femmes se disputent les faveurs d’un chanteur à succès, Arnaud Fleurent-Didier.

 

  • Sans Pitié (ARP Sélection) Un film sud coréen de Sung-Hyun Byun.

Jae-ho, qui se rêve chef de gang, fait la loi en prison auprès des autres détenus. Mais son autorité est remise en cause à l’arrivée de Hyun-su, un nouveau venu.

 

  • Les Derniers Jours D’Une Ville (Norte Distribution) Un long de Tamer El Said.

2009, Le Caire, Egypte. Khalid filme l’âme de sa ville et de ses habitants. Leurs visages et leurs espoirs. Quand la ville s’embrase, dans les prémisses d’une révolution, les images deviennent son combat. Les images du Caire, mais aussi celles de Beyrouth, de Bagdad et de Berlin, que lui envoient ces amis. Il faut trouver la force de continuer à vivre la douloureuse beauté des « derniers jours d’une ville ».

 

  • Patagonia El Invierno (Tamasa Distribution) Un long du réalisateur argentin Emiliano Torres notamment primé au Festival de San sebastian 2016 : prix spécial du jury et prix de la meilleure photographie.

Après avoir travaillé toute sa vie dans un ranch isolé en Patagonie, le vieil Evans est remercié et remplacé par Jara, un homme plus jeune qui veut s’installer avec femme et enfant. Mais quand l’hiver arrive, la région est bloquée par la neige. Il n’est plus seulement question de travailler mais aussi de survivre dans des conditions extrêmes. Désespéré et seul, Evans essaie d’effrayer Jara pour le faire partir. La confrontation est inévitable, quand l’un essaie de revenir, l’autre veut rester. Dans les somptueux et énigmatiques paysages de Patagonie, le film raconte la solitude, la rudesse du travail et la difficulté de laisser sa place.

 

  • Visages Villages (Le Pacte) Documentaire d’Agnès Varda et J.R. On doit au réalisateur Women Are Heroes (38.4k). On doit à la réalisatrice le documentaire Les Plages D’Agnès (231.6k) et son meilleur score reste Sans Toit Ni Loi (1.08M). Le film a reçu l’œil d’or du meilleur documentaire au dernier festival e Cannes.

Agnès Varda et JR ont des points communs : passion et questionnement sur les images en général et plus précisément sur les lieux et les dispositifs pour les montrer, les partager, les exposer.
Agnès a choisi le cinéma.
JR a choisi de créer des galeries de photographies en plein air.
Quand Agnès et JR se sont rencontrés en 2015, ils ont aussitôt eu envie de travailler ensemble, tourner un film en France, loin des villes, en voyage avec le camion photographique (et magique) de JR.
Hasard des rencontres ou projets préparés, ils sont allés vers les autres, les ont écoutés, photographiés et parfois affichés.
Le film raconte aussi l’histoire de leur amitié qui a grandi au cours du tournage, entre surprises et taquineries, en se riant des différences.

 

 

  • Dream Boat (KMBO ~5 copies) Documentaire du réalisateur allemand Tristan Ferland Milewski.

Une fois par an, le DREAM BOAT prend la mer pour une croisière exclusivement gay. Loin de leurs familles et des restrictions politiques, cinq hommes embarquent pour sept jours de soleil, d’amour, de rêve et de liberté. Un voyage festif où doutes et incertitudes refont aussi surface…
CRITIQUE

 

  • Voyage Of Time Au Fil De La Vie (Mars Films) Deuxième sortie limitée du documentaire de Térence Malik après celle du 4 mai 2017 (20 462 entrées).

Hymne à la nature et à l’univers, Voyage of Time s’interroge sur le rôle de l’homme dans le futur. Après ces temps infinis, quel est le sens de notre passage sur Terre ?

 

Synopsis © Distributeurs & Allociné

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